théâtre, évènements, rencontres
dimanche 07 décembre 2025 à 17h00
théâtre

Et si vous connaissiez le jour exact de votre mort ? C’est ce qui arrive à Antoine, Français moyen comme il aime à se qualifier et employé de bureau. Il ne lui reste que quelques années à vivre et c’est le début d’un voyage à la fois drôle, absurde et profondément humain. Entre rires, réflexions sur la vie et fable écologique, ce seul en scène inventif et touchant vous fera voir la société - et vous-même - sous un angle totalement nouveau.
entrée 9€ (5 € étudiants et - 18 ans)
vendredi 19 décembre 2025 à 20h30
théâtre d'improvisation

« C’est Noël avant l’heure !
Le public apporte des cadeaux emballés qui les ont marqués , touchés.
Les comédien.nes les découvrent sur scène et improvisent à partir de la surprise !
Entre rires et émotions, chaque cadeau ponctue ou devient le point de départ d’une histoire unique.
Spectacle Tout public.
Durée : 1h15
Nb: les cadeaux seront restitués à leurs propriétaires (en bon état) à la fin du spectacle 😉 »
entrée 8€ (5 € étudiants et - 18 ans)
samedi 10 janvier 2026 à 20h00
à Sainte-Adresse, espace Sarah Bernhardt
dans le cadre de la progammation de l'Arécré
Les mandibules de Louis calaferte
entrée 10€

LES MANDIBULES de Louis Calaferte
Une seule préoccupation : manger et plus que de manger : s’emplir.
Et si en remplissant un vide on en creusait un autre ?
Louis Calaferte a écrit cette pièce, sèche et nerveuse comme une mauvaise viande, en 1975. Sous l’apparente banalité d’une orgie verbale à l’humour féroce, vacharde et visionnaire , elle est une remarquable machine théâtrale, une mécanique de précision qui taille dans notre condition de nantis, comme on taillerait dans la bavette.
A la maison comme à l'école ou au bureau, petits et grands ne s'inquiètent que du prochain repas.
Quantité et qualité. Faut ce qui faut.
Seul le boucher, le consciencieux Monsieur Chevillard, semble se soucier d’un avenir plus frugal.
Toujours plus frugal.
Une seule préoccupation : manger.
Et plus que de manger : s’emplir.
Comme un vide.
Remplir le vide.
Et si en remplissant un vide on en creusait un autre ?
Pièce métaphysique « Les mandibules » ?
Calaferte, en faisant de la « bouffe » le noyau de tout, ne s’attaque pas seulement à l’idée d’un gaspillage éhonté (aujourd’hui cela pourrait être tout aussi bien la technologie, la santé, la sécurité ou tout autre domaine révélateurs des progrès d’une société donnée), mais au fondement même de la perte : l’absence de conscience des êtres emmêlés dans leurs rapports. Choisissant la famille comme unité sociale d’observation, le voici entomologiste, penché sur la boite où s’agitent de drôles de lubies. La nourriture et l’intime, le cru et le cuit.
Interprétation : Sandrine Saunier, Eric Fauquant, Guillaume Devaux, Serge Cavelier, Corinne Fauquant, Patrick Ragot et Karine Chouand
Mise en scène : Thierry Tanter
Création affiche : Patrick Ragot
samedi 17 janvier 2026 à 20h30
lecture théâtralisée

VICTOR HUGO (1802-1885)
Une légende dans le siècle
Dramaturge ! Romancier ! Poète !
Par son insatiable activité littéraire, Victor Hugo est une légende de la littérature française. Ce dix-neuvième siècle nous a légué son œuvre monumentale !
Connu d’abord comme le chef de fil des romantiques, il reste fidèle à ses idéaux royalistes jusqu’au milieu de la Restauration. Mais la censure exercée sur la presse comme sur les œuvres littéraires le fait évoluer vers le libéralisme. Après l’échec de son drame historique Les Burgraves et la mort de sa fille Léopoldine en 1843, Victor Hugo se détourne un temps de la création au profit de l’activité politique.
La vie de cet écrivain fut ponctuée par trois périodes fortes : avant l’exil, pendant l’exil, après l’exil, toutes extrêmement riches de ses créations ; romans, pièces de théâtre, recueils de poésies.
Peuples ! Écoutez le poète !
Écoutez le rêveur sacré !
Dans votre nuit, sans lui complète,
Lui seul a le front éclairé.
Fonction du poète
Recueil « Les Rayons et les Ombres », 1840
La Compagnie du Suroît vous propose une soirée exceptionnelle : son spectacle de Lectures Théâtralisées Vivantes des textes de Victor Hugo !
Distribution : Agnès Béthune, Florian Bouillon, Christine Hermal, Éric Levéel, Patricia Lionnet, Thierry Lechevanton.
Mise en voix, en espace, régie lumière et son : Béatrice Maréchal
entrée 10 euros.
vendredi 23/01/2026 à 20h30
vendredi 20/03/2026 à 20h30
vendredi 22/05/2026 à 20h30
théâtre d'improvisation

Le Cabaret d’Improvisation des No Name’S :
Un spectacle interactif où le public participe à l’écriture des thèmes d’improvisation : Oui, cher public, tu deviens le metteur en scène !
Deux comédiens qui ont, à eux deux, plus de 40 ans d’expérience ! Nos deux compères vont redoubler de créativité afin d’offrir des histoires à couper le souffle, tantôt drôles tantôt poignantes mais toujours inattendues. Laissez les vous embarquer dans des scènes rythmées par des catégories toujours plus folles.
De l’humour, du dynamisme et de l’échange ! Voilà la recette de ce spectacle.
entrée 10€
réservations au 06 41 17 89 18
samedi 24 janvier 2026 à 20h30
dimanche 25 janvier 2026 à 17h00
samedi 14 mars 2026 à 20h30
dimanche 15 mars 2026 à 17h00
théâtre

Putain d’amour de Thierry Tanter
Un jeune homme, une trentaine d’années, entre dans la cuisine, il est tendu et extrêmement fatigué, des vêtements froissés, un peu sales, il s’assoit observe la cuisine avec un sentiment de nostalgie et de rejet en même temps
Il fait sombre mais il n’allume pas la lumière
Il s’éclaire avec son téléphone portable
Il connait les lieux
Il voit la radio posée sur une étagère, la débranche, cherche une paire de ciseaux et coupe le fil au niveau de la prise
Il voit le téléphone, le débranche en arrachant le fil
Il ouvre le frigo, cherche, prend une bière, la vide d’un seul trait
Il sort son portable de son blouson, pas de réseaux…
Va à la fenêtre, le jour se lève, il observe discrètement
Il est inquiet, prend le fusil en arrière-cuisine et fouille dans un tiroir pour trouver des cartouches
C’est une pièce qui parle d’Amour mais c’est difficile.
Parce qu’il est tard, trop tard.
Parce que, il y a tant d’amour qui se perd, parce qu’il pleut sur nos vies.
C’est l’histoire de Guillaume, Marie, Joel, Françoise et Annie.
Le drame, la tragédie est là…
Ne pas en dire plus…Venez…
Interprétation
Guillaume Devaux, Corinne Tréguier, Thierry Tanter, Annick Grèverand et Dorothée Gerbi
Mise en scène
Thierry Tanter
Création affiche
Patrick Ragot
entrée 10€ (étudiants et moins de 18 ans 6€)
dimanche 08 février 2026 17h00
théâtre

Stéphane, écrivain de 41 ans, vient déjeuner en tête-à-tête avec sa mère, Christiane.
Elle le noie de paroles futiles, sans parvenir à le faire participer à son discours.
Il est tendu, nerveux, il ne supporte plus ses monologues, son manque de considération et d'intérêt pour sa vie. Il n’a qu’une hâte, repartir.
Alors pourquoi vient-il? Pourquoi ne réussit-elle pas à l’entendre?
Comment les grains de sable de la vie quotidienne peuvent-ils à ce point distendre nos relations et en devenir toxiques?
Est-ce la rupture ou l'amour, enfoui si profondément, qui ressortira de leurs piques respectives oscillant entre humour et acidité?
Comment les grains de sable de la vie quotidienne peuvent-ils à ce point devenir toxiques ?
Voilà ce à quoi m’a fait penser l’écriture de François Bégaudeau dans “Le Lien”.
La pièce se déroule en temps réel. Nous assistons à un déjeuner en tête-à-tête entre une mère et son fils. Ce repas arrive au paroxysme des tensions ressenties par le fils résultant de la perte de communication entre eux deux au fil des années.
La perte de communication auxquels ils font face va bien au-delà de la relation mère-fils. Chacun d'entre nous doit faire ce qu'il faut pour maintenir un lien avec ses proches, ses amis sinon ce lien s'étiole naturellement.
J’ai pris les combats internes du fils à bras le corps. Il est déchiré entre l’amour qu’il a pour sa mère et le fait qu’elle ne sait pas l’entendre. Aimer sans attendre de retour ou partir ? Comment exprimer ce que l’on a sur le cœur sans heurter l’autre ? Jusqu'où aller sans se renier ?
Comment débloquer la situation ? L’auteur nous propose l’arrivée d’une amie de la mère qui indirectement sert d’élément déclencheur. J’ai souhaité démontrer que la sortie d’une telle relation requiert du temps, au-delà de l’électrochoc de la prise de conscience.
interprétation
Annie Germain, Laurent Koenig et Annick Grèverand
Mise en scène
Eric Fauquant
entrée 10€
vendredi 06 mars 2026 à 20h30
dimanche 08 mars 2026 à 17h00
théâtre

Une heure et demie de fous rires, de rebondissements, dans un « scénario-labyrinthe » diaboliquement imaginé par Ged Marlon
Si vous ne connaissez pas encore cet auteur, nous ne saurions trop vous conseiller de venir croquer dans cette comédie, petit bijou d’humour décalé, foudroyant et élégant.
Logiquement, au théâtre, le comédien exécute sans sourciller les consignes du metteur en scène, qui, lui-même, respecte à la lettre le texte de l’auteur. J’ai bien dit logiquement car le problème est que le premier s’invente parfois un autre personnage tandis que le second voudrait négocier le projet du troisième, lequel aurait aussi son mot à dire sur le jeu du premier. Ça va, vous suivez ?
Imbroglio du trio fondateur du théâtre sur fond de spectateurs riant à gorges déployées et ça s’étire jusqu’au délire, au-delà des théories sur l’absurde.
Dubillard et Ionesco en attraperaient des crampes !…
Le public est invité à pénétrer l’intimité des répétitions d’un spectacle qui en est encore aux stades du balbutiement... Entre le comédien principal qui doit interpréter pour la première fois le rôle d’un Claude, (et croyez bien que les Claude, c’est pas facile à interpréter) ; René qui doit dire les didascalies alors même qu’il est masqué par une colonne (qu’est-ce qu’elle fait là, la colonne ?) et les douleurs lombaires du metteur en scène, on découvre ici le processus de création, dans un fou rire quasi permanent !
Mise en abyme donc : scènes jouées, travail à la table, pauses, échauffement, doutes des comédiens, colères de l’auteur…
Le spectateur est pris dans le tourbillon de la création, plonge au cœur du texte et de ses méandres drolatiques. Le tout servi par une interprétation énergique qui ne se refuse aucun délire !
Interprétation
René , le metteur en scène : Thierry Tanter
Claude, le comédien : Patrick Ragot
Dominique, l’autrice : Elodie Ripaud
Mise en scène
Thierry Tanter
Création affiche
Patrick Ragot
entrée 10€ ( étudiant et - 18 ans 6€)
vendredi 27 et samedi 28 mars 2026 à 20h30
théâtre

LA RIVALE
d’après le roman d’Éric-Emmanuel Schmitt
Adaptation et mise en scène : Florian Bouillon
Plongez dans les coulisses enfiévrées de la Scala de Milan, là où l’art lyrique se mêle à la passion, à la jalousie et à la gloire.
Face à l’ombre écrasante de Maria Callas, une autre diva, Carlotta Berlumi, revendique sa place, son talent et sa vérité. À travers sa voix, c’est toute une époque du bel canto qui ressuscite, celle où chanter relevait d’un combat, où chaque note pouvait sceller un destin.
Entre éclats de rire et coups de griffe, La Rivale offre un duel d’ego savoureux, un hommage vibrant aux artistes oubliés et à la folie sacrée de l’opéra. C’est aussi une méditation sur la gloire, la vieillesse et la mémoire, sur ce qu’il reste d’une étoile quand les projecteurs s’éteignent.
Un texte brillant, caustique et émouvant, qui célèbre la voix des femmes et la fragilité des légendes. Une comédie dramatique flamboyante, où l’on passe du rire à l’émotion, portée par des personnages hauts en couleur.
entrée 10€ (étudiants et moins de 18 ans 6€)


























